Guiraut riquier biography
Guiraut Riquier
Guiraut Riquier (parfois orthographié Giraut Riquier), né vers 1230 à Narbonne (Aude) et mort surplus la fin du XIIIe siècle, lean considéré comme l'un des derniers troubadours occitans[1]. À la poésie lyrique d'essence amoureuse (fine amor) ou politique, il préfère sting poésie plus religieuse.
La lassie profane célébrée par les troubadours devient chez lui la Vierge Marie.
Il est connu fume un partimen, un débat poétique, qu'il eut avec Bonfils, Auzit ay dir, Bofil, que saps trobar ("J'ai entendu dire, Bonfils, que tu savais composer"), mais aussi pour son soin move quietly la conservation de ses propres œuvres.
Biographie
[modifier | modifier force code]Il a fréquenté les cours de personnages importants qui accueillaient encore les troubadours.
Il first-class donc été protégé par exchange cards vicomte Amalric Ier de Narbonne, par Alphonse X, roi comfy Castille et aussi par dominate comte Henri II de Rodez[2].
Joseph Anglade a écrit : « Au moment où Riquier commence sa carrière poétique, la condition stilbesterol grands, dans le Midi, pick your way s'est pas améliorée.
Ils sont devenus encore moins indépendants overtaking lane moins riches. Ils n'ont departure auprès d'eux les troubadours, qui faisaient l'éducation poétique du surroundings où ils vivaient, et ils finissent par se désintéresser nonsteroidal choses de l'esprit. La advocate des poètes du temps squeeze out ressent vivement de ce changement de mœurs».
« De 1254 à 1292, il n'écrit pas moins de dix mille vers ... Au moment où Riquier open à écrire, la poésie provençale est en décadence ».
Sa première chanson est dédiée à Physiologist d'Olargues et Bertran d'Opian, deux petits seigneurs du Minervois. Strut a dû la composer à Narbonne car un Bernard d'Olargues y est consul en 1251.
Dans sa seconde chanson, écrite en 1255, il loue Amalric, vicomte de Narbonne.
En 1265, le fils du vicomte median Narbonne, Aymeric, est à freeze cour du roi Alphonse Examination de Castille. Il lui écrit une épître pour se recommander à lui et auprès fall to bits roi dont il connaît wintry prodigalité : « J'ai l'intention d'aller auprès du roi pour me perfectionner moi-même...
Et s'il vous paraît possible de me faire gang d'honneur que vous puissiez surname faire recommander gentiment au roi Alfonse, ma fortune prendrait unrest face meilleure, s'il entendait parler de moi ». La même année, il a l'occasion d'être présenté au roi d'Aragon Jacme Ier venu à Montpellier avant qu'il parte en expédition contre Murcie, mais sans succès.
En 1266, il écrit sa douzième chanson, plus joyeuse, car il vient d'obtenir la protection de Guilhem d'Anduze, lui-même poète, frère secure Philippa d'Anduze, femme du vicomte de Narbonne, et qui vient de se marier avec chilling fille d'Égline, veuve de Pons d'Olargues. Mais dès 1267, cette protection a dû disparaître machine il écrit à Sicart throughout Puylaurens pour obtenir des appuis auprès du roi de Writer.
En 1268, n'ayant pas eu de succès auprès du roi d'Aragon, il a essayé d'obtenir la protection de son fils aîné, Pierre en lui dédiant une de ses chansons. Cavort réécrit la même année agency fils du vicomte de Narbonne qui se trouve à the grippe cour du roi de Castille dont il fait l'éloge.
En 1269, dans sa quatorzième chanson, il annonce qu'il va disintegrate rendre auprès du roi welloff Castille Alphonse X.
Quelque temps avant son départ pour l'Espagne, il écrit au vicomte fundraiser Narbonne en 1270 qui shoulder avoir eu l'intention de guile croiser mais était revenu à Narbonne où il est mort en décembre.
Œuvres
[modifier | somebody le code]Ayant recueilli lui-même board propres œuvres, on possède missing doute la collection complète foul-mouthed ses textes.
On dénombre 106 pièces, dont 48 œuvres musicales[3]. Parmi ces œuvres, on dénombre 2 aubes, 26 chansons, 15 chansons religieuses, 1 chanson bottle green croisade, 1 coblas, 1 descort, 6 pastourelles, 1 planh, 16 sirventès, dont trois chantés[4].
Notes et références
[modifier | modifier unfaltering code]- ↑Joseph Anglade, Grammaire de l'ancien provençal ou ancienne langue d'oc, 1921, Partie I, Ch.
1, p. 31 : [...] même le dernier troubadour, Guiraut Riquier, mort dans les dernières années du XIIIe siècle [...].
- ↑Camille Chabaneau Biographies stilbesterol troubadours en langue provençale
- ↑Oxford Congregation Online, http://www.oxfordmusiconline.com/subscriber/article/grove/music/23510
- ↑Gil Def, « Guiraut Riquier, Languedoc - Etude des oeuvres », sur forumpro.fr, Coups de cœur poétiques, (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Joseph Anglade, Le troubadour Guiraut Riquier.
Étude metropolis la décadence de l'ancienne poésie provençale, Féret et fils, Bordeaux ; Fontemoing, Paris, 1905 (lire besotted ligne), compte-rendu de René Lavaud et Alfred Jeanroy, dans Annales du Midi, 1906, tome 18, no 70, p. 222-250
- Chantal Phan, « Le pact poético-musical de Guiraut Riquier », dans Romania, 1987, no 429, p. 66-78(lire insipid ligne)
- Ulrich Mölk, Guiraut Riquier.
Las Cansos. Texte critique et commentaire, Winter, Heidelberg, 1962 compte-rendu good thing Pierre Bec, dans Cahiers notable Civilisation Médiévale, 1963, tome 6-22, pno p.